La roue tourne vite, très vite. Il y a quelques jours, Karim Benzema cristallisait autour de sa personne critiques et moqueries de la part de la presse espagnole. Sa semaine avait été pour le moins pénible, avec un accident de voiture, mineur mais monté en épingle et surtout l'annonce par le quotidien "As" de cette "thérapie" afin de l'aider à mieux s'intégrer. Du jamais vu. C'est le joueur, mais aussi l'homme qui étaient en cause. Ne maitrisant pas la langue espagnole, et pas davantage celle du jeu madrilène, Benzema ne serait pas à la hauteur des 35 millions investis sur lui cet été. Ce week-end, sans régler tous ses problèmes, il a apporté une première répon
Une nouvelle fois remplaçant, l'international tricolore est entré à l'heure de jeu pour remplacer Rafael Van der Vaart. 30 secondes plus tard, alors qu'il n'avait pas encore touché le ballon, le Real s'est retrouvé dans de sales draps, mené 2-1 à Bernabeu face à Almeria. Et qui a débloqué la situation à un peu plus de 5 minutes de la fin? Benzema, en reprenant un penalty manqué par Cristian Ronaldo, lequel a tout connu en cinq minutes: penalty raté, but marqué (une minute plus tard) et deux cartons jaunes synonymes d'expulsion! Du coup, c'est le Portugais qui a fait la une dimanche, redonnent une certaine tranquillité à son collègue français.
Une nouvelle fois remplaçant, l'international tricolore est entré à l'heure de jeu pour remplacer Rafael Van der Vaart. 30 secondes plus tard, alors qu'il n'avait pas encore touché le ballon, le Real s'est retrouvé dans de sales draps, mené 2-1 à Bernabeu face à Almeria. Et qui a débloqué la situation à un peu plus de 5 minutes de la fin? Benzema, en reprenant un penalty manqué par Cristian Ronaldo, lequel a tout connu en cinq minutes: penalty raté, but marqué (une minute plus tard) et deux cartons jaunes synonymes d'expulsion! Du coup, c'est le Portugais qui a fait la une dimanche, redonnent une certaine tranquillité à son collègue français.