BOSNIE - PORTUGAL : 0-1 (Aller: 0-1. Portugal qualifié) But: Raul Meireles (56e)
SLOVENIE - RUSSIE : 1-0 (Aller: 1-2 . Slovénie qualifiée) But: Dedic (44e)
UKRAINE - GRECE : 0-1 (Aller: 0-0. Grèce qualifiée) But: Salpigidis (31e) .
SLOVENIE - RUSSIE : 1-0 (Aller: 1-2 . Slovénie qualifiée) But: Dedic (44e)
UKRAINE - GRECE : 0-1 (Aller: 0-0. Grèce qualifiée) But: Salpigidis (31e) .
Sacrée à l'Euro-2004 au Portugal, mais absente du Mondial-2006 en Allemagne, la Grèce est le 28e pays à décrocher le précieux sésame pour l'Afrique du Sud l'été prochain (11 juin-11 juillet). A défaut du "choc" annoncé par le sélectionneur ukrainien Alexei Mikhaylichenko, ce fut, comme à l'aller, une rencontre globalement très tactique, la Grèce privilégiant un système nettement plus défensif qu'offensif. La première période était ainsi à l'image du temps: terne et maussade. Sur un terrain détrempé et devant un public clairsemé, les deux formations se contentaient de multiplier les passes, s'efforçant d'exploiter de trop rares occasions de contres. La première alerte intervenait côté grec, quand Salpingidis se trouvait seul à la récupération d'un centre dans la surface ukrainienne. Mais il se trouait et manquait le cadre (19e).
Les Grecs se risquaient alors à jouer plus haut. Un choix payant, qui leur permettait d'ouvrir le score peu après la demi-heure de jeu: Salpingidis profitait d'une longue balle millimétrée en profondeur pour tromper le portier ukrainien Piatov d'une jolie frappe du gauche à ras de terre (31e, 1-0). Dès lors, les Hellènes levaient le pied. Les Ukrainiens en profitaient aussitôt, accentuant leur pressing, par Shevchenko (40e), dont la frappe du droit était trop croisée, puis Aliev (42e). Au retour des vestiaires, ils poursuivaient leur inexorable marche en avant, multipliant les occasions. Mais rien n'y faisait: ni Kobin (47e), ni Aliev (55e), dont le coup franc était bien capté par Tzorvas, ni Seleznyov (60e, 94e) ne parvenaient à prendre en défaut l'hermétique défense grecque. A l'image de son capitaine Shevchenko, en pleurs sur la pelouse, l'Ukraine pouvait nourrir des regrets légitimes, alors que la presse nationale voyait déjà la sélection s'envoler vers l'Afrique du Sud.
Les Grecs se risquaient alors à jouer plus haut. Un choix payant, qui leur permettait d'ouvrir le score peu après la demi-heure de jeu: Salpingidis profitait d'une longue balle millimétrée en profondeur pour tromper le portier ukrainien Piatov d'une jolie frappe du gauche à ras de terre (31e, 1-0). Dès lors, les Hellènes levaient le pied. Les Ukrainiens en profitaient aussitôt, accentuant leur pressing, par Shevchenko (40e), dont la frappe du droit était trop croisée, puis Aliev (42e). Au retour des vestiaires, ils poursuivaient leur inexorable marche en avant, multipliant les occasions. Mais rien n'y faisait: ni Kobin (47e), ni Aliev (55e), dont le coup franc était bien capté par Tzorvas, ni Seleznyov (60e, 94e) ne parvenaient à prendre en défaut l'hermétique défense grecque. A l'image de son capitaine Shevchenko, en pleurs sur la pelouse, l'Ukraine pouvait nourrir des regrets légitimes, alors que la presse nationale voyait déjà la sélection s'envoler vers l'Afrique du Sud.